mardi 23 septembre 2014

Marathon et sinusite

Je cherchais les moyens (tout à fait légaux) d'être en forme le jour du marathon, qui approche, qui approche à grands pas. Plus que deux semaines.

J'écris à des amis dans l'entourage et un ami, de moi cher, me répond qu'il prend deux Ibuprofen avant la course et deux pendant le marathon.

L'idée, me dit-il, est d'éviter trop de douleurs aux jambes et à son genou récalcitrant et de finir en bonne condition.

Après quelques requêtes sur Internet, je découvre que l'affaire n'est pas idéale pour la santé.

Les docteurs disent, qu'en gros, pour une course, ça peut passer mais que l'objectif des anti-douleurs n'est pas de masquer la douleur car elle pourrait s'aggraver durant le course et le corps s'en ressentir pendant bien plus longtemps que s'il n'y avait pas eu d'anti-douleur.

Le choix est alors cornélien pour les coureurs :
- abandonner quand on a très mal aux jambes (au-delà du dépassement physique).
- ou bien ingurgiter les médicaments et poursuivre avec cette épée de Damoclès du sur accident au-dessus de soi.

Que faire ? J'ai résolu cette question en décidant de ne rien prendre avant la course et de faire du mieux que je pouvais pendant. L'objectif est, tout de même, de me maintenir en bonne forme ET santé physique et, accessoirement, d'améliorer mes chronos (enfin, pas tout à fait accessoire, cette histoire de temps, tout de même).


On en reparlera dans quinze jours, à une dizaine de kilomètres de la ligne d'arrivée, quand je taperai sur le "mur".

En attendant, je me tape une bonne sinusite qui nécessite une dizaine de jours de traitement.

PS : les entraînements de la dernière semaine se sont bien déroulés… Dimanche, couru 2h30 sous une pluie battante en montée et en descente. Un véritable bonheur !


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