dimanche 26 juillet 2015

Courir à Rome (après la Dordogne)

Les vacances sont commencées depuis plus de trois semaines, autant dire qu'on est plus près de la fin que du début.

Nous sommes partis le 5 juillet faire du camping en Dordogne, à Beynac. Puis retour pendant deux jours à Bruxelles et départ le 16 juillet vers Rome pour un échange d'appartement avec des Italiens. Ils sont chez nous pendant que nous sommes chez eux.

Côté course à pied, l'objectif de la rentrée est de participer au marathon de Metz qui aura lieu le 11 octobre prochain.

Histoire de commencer en douceur la préparation physique, j'ai fait trois séances en Dordogne :
- Une séance le mardi matin avec le grand garçon d'un peu moins d'une heure, le long de la Dordogne.
- La suivante le jeudi, tout seul, un peu plus longue, 1h15, toujours sur le même trajet, un aller-retour sur des chemins de terre avec petit raidillon en sous-bois.
- La dernière, le samedi matin, vers 7h30, sur le même parcours, avec une accélération pendant dix minutes à vitesse marathon.

A Rome, plus difficile de se lever tôt le matin quand nous essayons de ne pas partir trop tard pour les visites. En effet, vu la canicule qui sévit sur la capitale romane (jusqu'à 39°C le jour et 29°C la nuit), seul le matin convient à l'entraînement. Et encore, je ne suis jamais rentré aussi trempé d'un entraînement. Et une demi-heure après le retour, je sue encore.

Je me suis entraîné tous les deux jours en semaine et une séance longue ce matin (de 1h30). Mon trajet est toujours le même : direction le Colisée, dont je fais le tour puis je remonte une avenue et entre dans un parc. Là, cinq tours entre plat et petite montée et retour à l'appartement, le tout faisant une petite heure.

La journée sportive n'est pas terminée car nous marchons beaucoup en ville, en moyenne 8km par jour.

Pour mes courses, je suis un parcours identique. Peu réjouissant me direz-vous. En même temps, comme j'ai un sens de l'orientation pitoyable, je risque de me perdre, et sinon, ça me fatigue de chercher mon chemin. Comme j'aime bien faire mes entraînements libres (sans mesure de FC ou de fractionné) en musique, autant suivre, à chaque balade, le même chemin.

Et puis, découvrir à chaque séance le Colisée, me comble de joie.


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